Le MCG n'arrête pas de tirer la sonnette d'alarme et nous continuons. En juin, l'office cantonal des statisque indique une nouvelle hausse de 1,7%, pour un total de 110'500 frontaliers permis G.

L'accroissement massif de travailleurs frontaliers représente une pression inquiétante qui conduit à une maltraitance systémique des compétences locales. Aujourd'hui notre canton gâche de très nombreux talents locaux parce que nos autorités actuelles ne veulent pas les protéger.

Seul contre tous

La pression est devenu insupportable et, avec ses moyens limités le MCG fait le maximum afin de protéger les habitants du canton de Genève.

Malheureusement, nous nous trouvons face à des partis politiques qui font de belles promesses et expriment de belles paroles en public mais s'efforcent de bloquer toutes mesures de protection des habitants de notre canton.
 

Les actions du MCG

Grâce à l'action déterminée et efficace du conseiller d'Etat MCG Mauro Poggia qui a veillé à freiner l'arrivée de frontaliers permis G à l'Etat de Genève et à nos interventions sans relâche au Grand Conseil, nous avons réussi à freiner l'arrivée massive de frontaliers permis G. Le fait que le candidat MCG au Conseil d'Etat n'a pas été élu en 2023 explique la passivité actuelle du Gouvernement genevois.

Interventions concrètes

Néanmoins, nous avons déposé une quantité impressionnante de textes  parlementaires pour protéger les résidents genevois face à la pression gigantesque des travailleurs frontaliers permis G.

Le MCG continue sont action sans faillir, malgré l'affaiblissement de ses positions. Nous sommes intervenus aussi sur des cas concrets comme les discriminations aux HUG ou en Ville de Genève.

Le MCG ne lâchera rien jusqu'à ce qu'il soit mis fin à ces abus.

François Baertschi, président du MCG