Le MCG fait peur et les attaques se multiplient contre les candidats de notre Mouvement une semaine avant les élections municipales.  Certains milieux médiatico-politiques cherchent à fausser le scrutin.

Et la déontologie?

Triste démonstration de faiblesse de la part d’une certaine presse à une encablure des échéances électorales. Publication de courrier anonyme, méthodes de paparazzi en immersion dans les poubelles et grande enquête de voisinage… au diable la déontologie ! Tels sont devenus les maîtres-mots des nouveaux chiens de garde de la démocratie genevoise. 

Un quatrième pouvoir aux allures de soldatesque journalistique de gauche en perdition qui fourbit ses armes dans la bataille politique, reléguée au rang de second couteau en planque dans les rédactions. Car en effet, contrairement à la population, la grande majorité des journalistes se déclarent ouvertement « de gauche ». Pas sûr qu’une énième campagne haineuse de dénigrement contre le MCG et ses membres permettra à cette presse de reconquérir son lectorat. 

Après les attaques indignes contre Thierry Cerutti, c'est maintenant au tour de Skender Salihi d'être visé par une offensive médiatique contestant cette fois sa domiciliation.

La crainte de nos détracteurs de voir notre Mouvement réaliser une percée historique dans les urnes ne doit pas justifier un acharnement médiatique dont le MCG est d’ailleurs le seul parti politique à faire les frais. 

Par souci de transparence et pour épargner à nos amis journalistes la corvée d’aller fouiller dans les immondices, nous tenons à leur disposition une attestation de l’OCPM qui prouve le fait que les allégations portées à l'encontre de Skender Salihi sont fausses. 

Longue vie à notre Démocratie !